BOUGLIONE WINTER CIRCUS
Circus
4.1/5
2025
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2025
This beautiful polygon-shaped building has become very precious. Of the "hard" circuses built during the 19th century, only this one remains, built in 1852 by architect Jacques Hittorff, and purchased in 1934 by the Bouglione brothers. Today, the circus reigns supreme, thanks to the expertise of the Bouglione family, who recruit exceptional artists from all over the world to enrich their shows. The circular stage of this magnificent "theatre" is also used for concerts and television broadcasts.
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Members' reviews on BOUGLIONE WINTER CIRCUS
4.1/5
29 reviews
Value for money
Originality
Frame/Ambiance
Service
The ratings and reviews below reflect the subjective opinions of members and not the opinion of The Little Witty.

Visited in may 2025
When you miss home and looking for home cook meal. This is the place.

Visited in may 2025
Très bel endroit

Visited in may 2025
Sièges réservés aux gens de très petite taille ou très souples ...donc impraticables. Quant à Lutz, le propos n'est que trop ponctuellement drôle. Manque de finesse, de hauteur, trop de longueurs, convocation gratuite d'un pauvre cheval... un spectacle complètement raté, prétentieux.

Visited in may 2025
L'endroit est majestueux, et avec une décoration atypique. Il a été prêté généreusement pour la soirée du gala pour le sida. Je déplore juste un manque de confort sur les banquettes arrières, et le fait d'avoir la vue cachée par l'entrée dans les gradins.

Visited in april 2025
Une salle magnifique de 1852 en plein Paris. Écrin idéal pour le spectacle d’Alex Lutz que je recommande. A la fois drôle, émouvant, un gros travail d’écriture, le talent vocal et mimique de Lutz pour camper des personnages masculins ou féminins…l’embourgeoisement des jeteurs de pavé de mai 1968, le refus de vieillir, la fin en ephad, le Covid analysé par des grabataires, la dépression et le cortège médicamenteux prescris par des psy inutiles, le chômage des cadres dans les années 90, le « petit souci avec l’alcool » de son père et son syndrome de diogene, les années sida, les théories fumeuses des wokistes véganes, l’impuissance des parents devant leur rejeton ingérable et imbuvable , le commerce vénal autour des défunts devant la famille désemparée, la perte inévitable du père qui sera emporté par un cancer, mais les joyeux souvenirs d’enfance qui restent néanmoins…on en ressort remué
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